24 avril 2024

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L’audience de ce second tour s’est longtemps maintenue autour de 2 points de participation supplémentaire par rapport au premier tour. Mais 24 heures avant le scrutin, cette avance a intégralement disparue en dépit de la relance au vote contenue dans un mail envoyé par la Direction des Affaires Sociales. Au final, la participation apparaît en léger recul (-0,7 point par rapport au premier tour), exprimant une stabilité de l’électorat et donc une absence de mobilisation supplémentaire. Les résultats du premier tour n’ont pas incité au vote ni découragé non plus. Il faut souligner que le temps de campagne entre les deux tours était extrêmement court (trois jours ouvrés). La CFDT a fait le choix de respecter le code électoral (pas de campagne) pendant le scrutin du deuxième tour tandis que d’autres syndicats y ont fait quelques entorses. Cela n’a probablement pas eu d’impact important à la lecture des résultats.

Un recul de participation entre les deux tours reste peu courant dans notre historique électoral, il faut remonter à l’année 2005 pour observer cela. Après un scrutin 2019 catastrophique (20% de participation en moyenne sur les deux tours), la participation revient à des valeurs habituellement constatées (autour des 30%) dans notre Entreprise.

Le scrutin du premier tour des élections professionnelles s'est déroulé sur sept jours du 29 septembre (10h) au 6 octobre 2023 (10h). La participation, que chaque syndicat pouvait suivre au fur et à mesure par un accès personnalisé, prit dès le premier jour une tendance haussière par rapport au premier tour 2019. Cette tendance se confirma totalement puisque la valeur finale de participation est de 28,8% soit 11 points de plus par rapport au premier tour des élections 2019. L’abstention massive et inédite d’alors dans l'Entreprise, fut sans doute imputable à la conjoncture sociétale (mouvement des gilets jaunes) voyant les syndicats en perte d'image auprès des salariés. Aujourd’hui, le fait syndical est revenu au premier plan avec les manifestations contre la réforme des retraites. Au gré de nos rencontres avec les salariés, nous avons constaté leur intérêt croissant vers l’actualité sociale et les enjeux d’avenir (mobilité, conditions de travail, développement durable, distribution de valeur ajoutée). Plusieurs se sont d’ailleurs engagés à nos côtés pour défendre le projet de la CFDT : sympathisants, adhérents, candidats, chacun à son rythme !

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Une profession de foi au format A4, est bien mince pour vous conter notre projet d'ensemble pour l'Entreprise. Ce genre de document est souvent l'objet de formules choc mais il ne peut détailler l'ambition que nous portons pour notre univers professionnel commun : consultant.e.s, managers, assistant.e.s, chargé.e.s de recrutement, autres personnel de structure. Il est évident que  le chantier est colossal si nos revendications atteignent leur but et que ces transformations sociales prendront du temps. Depuis plusieurs mois, l'Entreprise a émis le désir d'évoluer, de se réinventer, du fait d'un monde du travail qui a évolué.

La CFDT entend participer au débat, ne pas subir sans peser, et proposer donc ses idées pour défendre la condition des salariés, en ayant aussi à l'esprit la réalité de l'objectif de l'Entreprise. L'ère que nous vivons est génératrice de réformes de grande ampleur, bien souvent source de dégradations sociales si l'on ne s'y oppose pas de manière constructive. Chercher l'alternative, acquérir de nouveaux droits face aux réformes, c'est ce que la CFDT défend avec une vision pragmatique orientée vers l'anticipation des mutations futures. Face aux initiatives gouvernementales et aux débats législatif qui en découle, la CFDT réagit, argumente, revendique, manifeste. Par sa position influente, elle est un interlocuteur qui compte au niveau national ou interprofessionnel, comme dans notre branche des bureaux d'étude.

Le programme de la CFDT RANDSTAD DIGITAL est l’ensemble des objectifs qu’elle se donne pour la mandature 2023-2027. Ces objectifs sont organisés par thématique et respectent les valeurs de la CFDT RANDSTAD DIGITAL :

  • La défense des droits des salariés dans un esprit de solidarité
  • Progresser par la conquête de nouveaux droits via les négociations
  • La prise en compte des enjeux écologiques et environnementaux
  • Faire que le travail soit source d’émancipation pour les salariés
  • Lutter pour l’égalité, entre les femmes et les hommes et entre tous les salariés
  • Adopter un fonctionnement démocratique et veiller à notre indépendance

Le verdict du second tour des élections professionnelles est tombé au soir du 21 octobre dernier et avec lui une nouvelle instance est née : le fameux CSE (Comité Social et Economique) dont nous vous avons si fréquemment entretenu depuis plus d'an. La page des anciennes instances CE, DP, CHSCT est donc définitivement tournée et c'est vers un avenir rempli d'expérimentations que nous nous dirigeons. Nous ne reviendrons pas plus longtemps sur la longue route que fut la négociation chez AUSY de la mise en place de cette réforme du CSE, mais il faut maintenant au plus vite redonner vie à la représentation du personnel afin que vous, salariées et salariés de l'UES AUSY, ne soyez plus lésés par une carence qui dure maintenant depuis quatre mois. Carence, nous le rappelons, est de la responsabilité pleine et entière de notre Direction qui est restée sourde à nos demandes répétées de continuité de service. A présent que cela est dit, revenons aux résultats.

En premier lieu, la participation a subi un rebond de 4.6 points entre le premier et le second tour (de 17.7% à 22.3%). Ce sursaut est assez traditionnel et sa proportion reste mesurée et ne comble en rien l'effondrement constaté des suffrages par rapport aux années 2011 et 2015 : le recul du nombre de votants est ainsi de 37% pour ce second tour par rapport au second tour 2015. A peine plus d'un électeur sur cinq s'est ainsi exprimé lors de cette élection : nous aurons toujours cette donnée en tête qui nous rappellera la modestie dont nous devons faire preuve vis-à-vis du fait syndical en Entreprise. Plus étonnant est la répartition de ce surplus de participation : nous allons y revenir.

 

 

Vous trouverez ci-dessous les pourcentages de suffrages (tous collèges titulaires cumulés) pour chaque liste présente au second tour ainsi que la situation comparée lors du second tour des élections 2015.

La participation pour ce second tour des élections professionnelles CSE de l'UES AUSY est en hausse de 4.6 points à la même heure de scrutin qu'au premier tour (soit 12h ce lundi 21 octobre). Elle devrait tutoyer les 22 % à la clôture du scrutin (17h). Une hausse prévisible comme à chaque élection mais qui n'est pas pour autant un sursaut significatif : la mobilisation reste faible à notre grand regret.

L'évolution de la participation retracée ci-dessus pour le collège cadres montre deux périodes de vote plus intense : le début du scrutin (12 première heures) et la fin de celui-ci (7 dernières heures). Entre les deux, le rythme est relativement homogène.

On se retrouve donc pour les résultats, d'ici là, il vous reste cinq heures pour voter si ce n'est déjà fait !

 

Voici un petit tour d'horizon de la répartition des suffrages exprimés aux élections CSE en fonction de quelques critères démographiques de la population de salariés de l'UES AUSY.

En premier lieu, les femmes ont un peu plus voté que la moyenne :
 

 

L'âge du salarié est une donnée qui indexe naturellement la participation, celle-ci subit des sauts significatifs pour chaque décennie franchie. Seuls les plus de 40 ans ont maintenu le vote dans des proportions habituelles chez AUSY.

 

 

L'ancienneté est fortement corrélée à l'âge et c'est donc naturellement les mêmes tendances que nous pouvons observé sur ce critère : au-delà de cinq ans de maison, le vote s'est maintenu dans des proportions habituelles.

 

Le scrutin du premier tour des élections professionnelles,  proposé pour la première fois  sous la forme d'un vote électronique intégral, s'est étalé sur six jours du 2 au 7 octobre dernier. Avant d'entrer dans le détail des résultats, le premier enseignement est tombé très tôt. La participation, que chaque syndicat pouvait suivre au fur et à mesure par un accès personnalisé, prit dès le premier jour du vote une tendance inquiétante, que nous pouvions extrapoler à 18% au terme du scrutin. Cette tendance se confirma totalement puisque la valeur finale de participation est de 17,7% soit une chute vertigineuse de moitié (-46%) par rapport au premier tour des élections 2015.

Une abstention massive et inédite dans l'Entreprise dont l'ampleur fait écho au contexte de l'Entreprise mais aussi sans doute à la conjoncture sociétale qui voit les syndicats en perte d'image auprès des salariés. L'explosion du paysage politique avec l'effondrement des partis traditionnels a bouleversé la donne, le gouvernement mène ses réformes sans véritable opposition crédible pour l'heure. Le mouvement citoyen des gilets jaunes s'est voulu non politisé et en marge du syndicalisme. Tout cela entame d'une part certainement le crédit des syndicats et si on y ajoute le contexte social chez AUSY où quasiment rien n'avance depuis 4 ans, vous aurez sans doute les fondements d'un désintérêt électoral. Ce premier indicateur de vote est un désaveu bien sûr pour la majorité syndicale sortante, qui a un bilan famélique sur la négociation collective, mais aussi pour l'ensemble des syndicats dont nous prenons toute notre part. Le vote électronique était censé dynamiser le scrutin qui d'ordinaire mobilise 30 à 35% de la population des salariés (voir graphique). C'est là véritablement une chute dans l'abîme, quel rebond dès lors escompter pour le second tour ? Nous appelons donc tous nos collègues à se mobiliser pour un scrutin qui engage leur quotidien sur les 4 prochaines années. Voter est un droit, notre devoir est ensuite de vous représenter, de défendre vos droits et pour cela nous avons besoin que vous soyez derrière nous !

 

 

Dans ces conditions où le quorum n'est pas atteint (50% des suffrages exprimés par rapport aux nombre d'inscrits), l'élection du premier tour n'a donc pas délivré d'élus. Elle est cependant l'objet de la mesure de représentativité syndicale qui a lieu tous les quatre ans lors de ce premier tour. Chaque syndicat dispose donc d'un pourcentage équivalent au nombre de voix qu'il a rassemblé par rapport au nombre de suffrages exprimés (les votes blancs sont exclus du décompte). La représentativité 2019 est donc figurée ci-dessous et en comparaison celle de 2015.

Une profession de foi au format A4, fut-il recto-verso, est bien mince pour vous conter notre projet d'ensemble pour l'Entreprise. Ce genre de document est souvent l'objet de formules choc mais il ne peut détailler l'ambition que nous portons pour notre univers professionnel commun : consultant.e.s, managers, assistant.e.s, chargé.e.s de recrutement, autres personnel de structure. Il est évident que  le chantier est colossal si nos revendications atteignent leur but et que ces transformations sociales prendront du temps. Depuis plusieurs mois, l'Entreprise a émis le désir d'évoluer, de se réinventer, du fait d'un monde du travail qui a évolué plus vite que notre écosystème. Des ateliers de réflexion, d'introspection même, ont abouti à de nobles déclarations d'intentions. Jusqu'où portera cette voix du changement ? Se brisera-t-elle sur la réalité économique première ?

La CFDT entend participer au débat, ne pas subir sans peser, et proposer donc ses idées pour défendre la condition des salariés, en ayant aussi à l'esprit la réalité de l'objectif de l'Entreprise. L'ère que nous vivons est génératrice de réformes de grande ampleur, bien souvent source de dégradations sociales si l'on ne s'y oppose pas de manière constructive. Chercher l'alternative, acquérir de nouveaux droits face aux réformes, c'est ce que la CFDT défend avec une vision pragmatique orientée vers l'anticipation des mutations futures. Face aux initiatives gouvernementales et aux débats législatif qui en découle, la CFDT réagit, argumente, revendique, manifeste. Par sa position influente, elle est un interlocuteur qui compte au niveau national ou interprofessionnel, comme dans notre branche des bureaux d'étude. Au niveau de l'Entreprise, la CFDT AUSY a élaboré un état des lieux du parcours idéal permettant de faire grandir socialement celle-ci. Lassé par des mois de patinage et de marasme dans les négociations, la CFDT a établi ses priorités :

  • Obtenir des réponses : où va AUSY depuis son rachat et les promesses de Randstad ? Quelle stratégie financière et économique ?
  • Décrypter la situation sociale, proposer, mener à terme les multiples négociations nécessaires, créer ainsi un référentiel social attractif.
  • Accompagner AUSY dans sa transformation digitale et veiller à une conduite appropriée du changement
  • Défendre l’emploi, systématiser la formation, améliorer la gestion des carrières
  • Veiller à ce que les intentions cèdent la place aux actes : afin que reconnaissance, écoute, bien-être, fidélisation ne soient pas que des concepts…
  • Faire revivre et élargir l’horizon des œuvres sociales

Ces axes ont piloté notre réflexion et vous pouvez télécharger (revendicatif complet ou action par action) et découvrir ci-dessous nos revendications sous la forme de dix actions déterminant la voie à suivre pour faire évoluer favorablement vos conditions de travail et de vie au sein de notre Entreprise. Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après les péripéties contées en détail dans notre précédent article et ayant abouti à une carence des instances depuis le 30 juin, la Direction a convoqué une nouvelle fois les partenaires sociaux le 4 juillet dernier pour la négociation du protocole d'accord préélectoral. La CFDT y a tout d'abord accueilli positivement la prise en compte intégrale de ses remarques sur le texte du projet d'accord. La Direction a de plus proposé, en réponse à nos revendications sur les moyens des commissions supplémentaires évoquées dans ce projet d'accord (Handicap, Mutuelle, Séniors, ASC), de procéder à la convocation de trois réunions annuelles dédiées à la commission ASC. Cela répond donc en partie à nos demandes en instaurant la gestion des oeuvres sociales dans un cadre officiel et dédié contrairement à ce qui se pratiquait lors de la dernière mandature. La CFDT considère ce petit pas comme important et fondateur dans l'optique du futur CSE où la gestion des oeuvres sociales doit retrouver sa pleine efficacité et transparence. Cette modeste avancée ne peut certes combler complètement notre frustration récurrente sur le manque de moyens accordés aux futurs élus mais, assorti d'un calendrier électoral cette fois réaliste et partagé par toutes les parties, nous a incité à donner notre aval à une signature rapide des derniers accords menant enfin au processus des élections. Il est désormais crucial que les salariés ne soient pas privés plus longtemps de représentants du personnel. L'été est une période calme en général pour l'actualité sociale mais cette situation ne peut perdurer plus avant, le mois de septembre devant encore être un mois de carence. La CFDT a donc pris ses responsabilités en débloquant une situation qui aurait largement pu être anticipée en visant un planning moins ambitieux. Arrêtons là la polémique : place à l'action, l'engagement, le renouveau !

La CFDT a ainsi signé dès le 11 juillet le protocole d'accord électoral ainsi que l'accord sur les modalités de vote électronique (qui sera le scrutin exclusif et inédit chez AUSY), suivi le même jour par la CGT. La CFTC a conclu la validité de ces accords en paraphant ceux-ci le 24 juillet. Dès lors, les opérations électorales peuvent donc, enfin (!), se dérouler jusqu'à leur terme. Il est donc dès lors important de consulter le calendrier ci-dessous qui récapitule les différentes étapes du cycle électoral :

Vous avez donc bien lu, vous disposez d'un délai jusqu'au 18 septembre pour vous positionner sur notre liste. A défaut, d'engagement actif, n'oubliez pas que les effets secondaires d'une abstention durent quatre ans... alors votez ! Hors de question pour la CFDT de revivre encore une période d'immobilisme social !

La programmation des élections professionnelles 2019, scellant le passage des instances CE et CHSCT à l'instance unique CSE, n'est à ce jour (14 juin) pas encore définie.  Il est question ici de vous relater les négociations du protocole électoral ayant suivi la signature de l'accord de mise en place du CSE en date du 5 avril 2019. Vous avez pu lire épisode après épisode le processus de négociation sur le périmètre et les moyens du futur CSE qui s'est étalé sur presque une année entière depuis mai 2018. Manquant de rythme en raison des difficultés d'écoute de la Direction sur les demandes des syndicats, la négociation trouva une issue favorable à force de persévérance de la CFDT mais au prix d'une énergie considérable des acteurs du dialogue. Nous ne reviendrons pas sur les leçons positives de l'accord trouvé et déjà exposées lors du récit de l'épisode final. Digne de GoT, nous annoncions toutefois que cette saga trouverait sa suite dans la négociation du protocole d'accord préélectoral (PAP) qui se devait d'être du même tonneau pour satisfaire les partenaires signataires (CFDT, CFTC, CGT). Cet accord organise les modalités du vote : répartition des collèges, dates de scrutin, organisation mais peut aussi étendre les moyens des instances à mettre en place (notamment nombre de sièges, nombre d'heures de délégation).

 

En avril, ne te découvre pas d'un fil...

 

L'échéance des mandats actuels devant intervenir le 8 avril, les partenaires sociaux ont conclu, simultanément à la signature du périmètre du CSE, un accord de prorogation des instances (sans véritable base légale mais avec un intérêt partagé et la certitude qu'aucun ne contesterait puisque cette signature doit être unanime). La Direction s'est alors montré inflexible sur la date butoir du 30 juin pour parvenir à tenir des élections et ne proposa donc que ce délai maximal pour prolonger la durée de vie des instances actuelles du personnel (CE, CHSCT, DP). La CFDT émis, comme ses partenaires, de franches réserves à l'idée de respecter ce timing et alerta sans succès la Direction. Les syndicats n'ont eu donc d'autre choix que de valider par accord en date du 5 avril une prorogation jusqu'au 30 juin 2019, soit trois jours avant l'expiration des mandats...

Merci pour vos suffrages lors du 1er tour et persistez pour le second, c'est le CE qui est en jeu !!

Non aux bonimenteurs, la CFDT est la seule à se préoccuper de votre pouvoir d'achat et à avoir obtenu une revalorisation du budget du CE, Votez CFDT et nous nous engageons sur un programme concernant les activités socio-culturelles ! Où est donc celui des autres syndicats ? Le nôtre est dans la profession de foi, alors lisez et votez !

Tract du 3 avril 2015 : "un peu de décence !"

Profession de foi CFDT 2ème tour élections CE 2015

Profession de foi CFDT 2ème tour élections DP 2015

Profession de foi CFDT 1er tour élections CE 2015

Profession de foi CFDT 1er tour élections DP 2015

Analyse des élections CE 2011

Protocole préélectoral élections CE 2015

Protocole préélectoral élections DP 2015

Avenant au protocole préélectoral élections CE 2015

Avenant au protocole préélectoral élections DP 2015